Music

Joyeux anniversaire

L'image ?http://www.arte.tv/i18n/content/tv/02__Communities/C2-arts_20and_20music/02-Magazine/11__Tracks/08__10ans/image/tracks__10ans__180x130.gif/1488164,property=imageData.gif? ne peut être affichée car elle contient des erreurs.Avec une semaine de retard
Tracks fêtait la semaine dernière ses 10 ans. Pour ceux qui ne connaissent pas, rapide présentation : Tracks, c’est une émission de télé qui passe sur Arte consacré à toutes les formes d’art populaire dans leur forme underground ou pionnière. Grosso modo, Tracks s’intéresse beaucoup à la musique et à ce qui l’entoure, aux héros qui la forge et aux cramés que l’histoire a oublié, les plus excessifs qui marquent leur époque de manière anonyme.
Donc Tracks, j’adore. Et ce depuis 10 ans.
Pour l’occasion, nous avons été gratiné d’une émission complètement barrée, sorte de remix intégral furieux et jouissif. Attention, comète télévisuelle.
Vous l’avez raté ? Depechez vous !

Petit résumé des faits
Cette émission de la semaine dernière était vraiment à voir. Qui peut encore à la télé se permettre de faire un reportage sur la quête du cool ? Qui peut encore envisager de se faire un sujet sur la folie dans la musique de ses 30 dernières années sans déraper ? Qui parle des beastie boys sans anachronisme ?
Après quelques minutes de recherche frénétique, vous trouverez ici quelques extraits vidéo pour vous faire partager de quoi je parle.

http://www.dailymotion.com/group/11913

Je vous recommande dans le best of des reportages un celui sur Cocorosie assez magnifique (très très concert à emporter style) et un autre sur les Beastie Boys.

La soirée s’est ensuite terminé par une anthologie de la musique depuis 1955, version “les oubliés de l’histoire”. Rien que des tubes que l’on connaît, qui ont transformé leur époque et les courants musicaux.

Comment ça c’était mieux avant ? Certes, sa passait à 19h le vendredi (maintenant, c’est deuxième partie de soirée le jeudi, et ce depuis 4 ans). Mais ne boudons pas notre plaisir, il y en a trop peu, des émissions expérimentales comme celle ci.

Et puis rien que l’interview de Renaud Donnedieu de Vabre vaut son pesant de cacahuète !

Séance de rattrapage
Arte met à disposition encore quelques jours l’émission … dépechez vous ! Sinon, je crains que ce sera plus difficile à trouver …
http://www.arte.tv/fr/art-musique/tracks/Cette-semaine/20050106/1546756.html

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Cinema

Sunshine

Séance de bronzage cosmique

Date de sortie : 11 Avril 2007
Réalisé par Danny Boyle
Avec Chris Evans (II), Cillian Murphy, Rose Byrne
Film britannique.
Genre : Science fiction, Thriller
Durée : 1h 40min.
Année de production : 2007

Rating : rrahh lovely !
Je suis allé voir ce film sans en rien connaître. Au fond, la bande annonce ne dis rien de ce film, si ce n’est que l’histoire est assez bancale et que l’on est parti pour 1h40 de plans spatiaux. Du coup, je me suis renseigné, et je suis tombé sur l’excellent commentaire de Corentin qui m’a évité de regarder le film en faisant fausse route. Là, j’ai pu l’apprécier totalement – croyez moi, c’est hypnotique.

Tout commence donc avec l’excellent commentaire de la part de corentin (avec plusieurs points très bien vus) qui m’a mit en condition pour le film : je n’attendais donc pas de second sens ou de message politique, ou de plans barrés.
Néanmoins, si Corentin a été déçu, j’ai été de mon côté assez sensible à la beauté du film, voir complètement hypnotisé (je vous rassure, je mets un lien vers le commentaire dudit Corentin en fin de cet article … quel suspsens !)

Vous raconter l’histoire risque de vous focaliser sur un scénario assez bof, alors que le vrai secret du film est dans l’incroyable réalisation et la photographie magnifique.

Ce film est lent – après tout, on ne fait pas des voyages kamikazes cosmiques en 1h – mais une fois ce paramètre intégré, laissez vous séduire.

Et puis l’affiche est laide … impossible de ne pas penser à un remix douteux d’Armageddon (lui même étant déjà douteux).

La beauté des plans m’a fait penser à un mélange entre 2001 l’odyssée de l’espace (qui serait transposé en 2007) et Solaris (l’analogie fonctionne d’ailleurs plutôt bien avec le film).
J’ai donc été subjugué par la puissance des images – fantastique spectacle sur grand écran (spectacle du soleil et de la nature). Sans doute que si vous le voyez chez vous sur votre écran d’ordinateur ou une vieille télé, vous risquez d’être décus.

Pour faire bref, je renvoi au commentaire de corentin auquel j’ajoute en plus : “oui, mais c’est aussi magnifique.”

http://www.corentino.fr/2007/04/13/sunshine/

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Cinema

Jean-Philippe

Dans la peau de Johnny Malkovitch

Réalisé par Laurent Tuel
Avec Fabrice Luchini, Johnny Hallyday, Jackie Berroyer
Genre : Comédie
Durée : 1h 30min.
Année de production : 2005

ça ressemblait à une bonne idée – un monde sans Johnny. Et puis Luchini est arrivé, et il a tout foutu en l’air. Quel dommage. Ca aurait pu être brillant drôle, et complètement barré, l’occasion pour Johnny de montrer qu’il était capable d’auto dérision. Ben non.
Pourquoi je vous parle du film maintenant ? Je sais pas trop. Peut être juste pour le plaisir de replacer cette vidéo qui a fait le tour de la terre, mais que je ne me lasse pas de regarder, à laquelle j’ai repensé récemment, je ne sais pas pourquoi … La campagne de promo la plus réussie du monde
Rating : beuh

johnny 003

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Cinema

300

Promis, après j’arrête

Réalisé par Zack Snyder
Avec Gerard Butler, Lena Headey, Rodrigo Santoro
Film américain.
Durée : 1h 55min.

C’est le carambolage des cultures sur Skepse. D’un côté, nous avons Camusienne qui s’enthousiasme sur Electre, et à présent, nous avons un article sur 300 que j’ai ENFIN vu. Même si la Grèce antique est le point commun de ces deux articles, précisons tout de suite que nous ne sommes absolument pas dans la même catégorie, loin de là.
300, je l’attends depuis quelques mois, absolument alléché par le trailer sublime par ses ralentis et ses images 100% retouchées par ordinateur. Alors forcément, quand on est aussi en appétit, on reste un peu sur sa faim au générique.
Mais ne soyons pas bégueule : le film reste tout de même bien jouissif.
Intellectuels et amis héllenistes – passez votre chemin, ou oubliez votre cerveau en entrant dans la salle de cinéma.
Rating : mmmmh !

C’est joussif, esthétique, lourdement calibré et soupoudré de testostérone à souhait … rien que du lourd pour exciter l’héroïsme façon exploit historique. C’est animal, violent, rauque …
Attention – nous sommes plus proche du fantastique, de l’épique, du mythologique, du complètement bourrin façon film d’action que du péplum à la Charlton Eston.

Même si on est loin du film du siècle (un scénario et une intrigue inversement proportionnelle au tour de bras des acteurs, quelques tics agaçants), ça vaut tout de même son pesant de pop-corn dans son genre.

A noter que je fais le choix de faire l’impasse sur les débats complètement stériles sur l’homoérotisme suintant ou le prosélytisme pro-américain et anti-perse (anti-iranien) qui saute à l’oeil – on est hors sujet.

En revanche, n’allez pas commettre l’ignoble crime d’aller le voir en français … Tâchez de convaincre vos congénères monolinguistiques dans la salle de changer pour la VO, sinon … … ben sinon c’est bien dommage.

Les précédents posts sur 300 (oui, on en a déjà bien parlé de ce film par ici) : cliquez ici

Evita Art 83

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Cinema

Ne le dis à personne

Ne le répétez pas : le film est excellent

Réalisé par Guillaume Canet
Avec François Cluzet, André Dussollier, Marie-Josée Croze
Durée : 2h 5min.
Année de production : 2006

Rating : Rating : rrahh lovely !
AAhhh fait plaisir à voir, un vrai bon film comme ça. Comme un souffle de fraicheur sur le cinéma français. Le film est ressorti en salle à l’occasion des césars (4 prix tout de même) – ça valait vraiment la peine d’aller y jeter un oeil, d’autant plus que je l’avais raté.

Je n’ai pas été déçu, et je vous invite à le regarder si ce n’est pas déjà fait dès que vous en aurez l’occasion, le film est assez fabuleux.

Guillaume Canet finira certainement par être un très bon réalisateur (à n’en pas douter depuis XXX). Et puis l’affiche est assez fantastique, François Cluzet, juste, et l’ensemble sonne plutôt bien. Donc je ne vois pas de raison de se priver.

Pourtant, je ne vous cache pas que le trailer me sembalais assez quelconque …

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Cinema

300, encore une petite couche

Astuce pour voir le film en avant première
Le film le plus attendu de la blogosphère ces 6 derniers mois sort dans 3 jours en France, et moi, je vous offre de découvrir en avant première le film. Plan par plan, séquence par séquence, vous pourrez voir avant tout le monde chaque élements de ce qui s’annonce un carton, et pas seulement chez les hellenistes de l’école du louvre, grâce à un buzz remarquable.

Pour découvrir le film en avant première, lisez la BD
C’est pas plus compliqué ! Je l’ai découverte il y a 2 semaines, et j’ai été frappé par les ressemblances des plans du trailer avec les planches de la BD. Ce Miller, quel talent – ce n’est pas une BD qu’il a fait, mais un storyboard ! Du coup, il ne reste plus à Zach Snyder (le réalisateur de 300) qu’à trouver des bonhommes gonflé à bloc de testostérone pour jouer dans le film, et hop, le tour est joué !

D’ailleurs, je vous propose de voir plan par plan ce que ça donne, la ressemblance est vraiment troublante.

Et puis en plus, ce malin de Snyder il met de gros ralentis sur les plans les proches de la BD, histoire qu’on vienne pas lui dire qu’il n’a pas été suivre fidèlement l’album.

Je ne vous cache pas que l’histoire se termine mal.

Le buzz internet pour un film le plus réussi depuis le projet blair witch

ça c’est du beau buzz

ça commence avec quelques trailers volés, dévoilés lors de conférences et sur Digg, avec la warner qui s’en mêle (souvenez vous de mon premier post sur le sujet). Puis ça continue avec le trailer officiel, et le tout avec le blog du film régulièrement alimenté … Du coup, la pression n’est pas retombée depuis le mois de juin de l’année dernière. D’ailleurs, à ce sujet, je vous recommende cet excellent article d’Ecrans qui nous raconte toute l’histoire de ce buzz, avec en Bonus les premières vidéos de fan …
Affligeant …

Le Buzz en image
Sur google

Sur Technorati

Remarquez l’effet en 3 temps.
Eté 2006, annonce du truc – premiers buzz avec un noyau dur qui se refile le trailer de blog en blog – et là est le tour de maître – sans que ça retombe jusqu’à l’approche de la sortie du film, la sortie du trailer officiel 1 et 2 et enfin la sortie du film …

Clap clap clap … du grand art …

Pour finir, je devrais confesser que c’est pour une partie infime ma faute … (et ce, dès septembre …)
Ce qui me rassure, c’est que c’est aussi celle de Seb … (le 23 janvier dernier … il participera au gros buzz de fin de vague)

Dernière précision : si le film est ne serait-ce qu’un quart aussi bon que la BD, alors on peut s’y rendre sans aucune hésitation.

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Cinema

Le nombre 23

Le compte est bon

Réalisé par Joel Schumacher
Avec Jim Carrey, Virginia Madsen, Logan Lerman
Durée : 1h 40min.
Année de production : 2007

Rating : moui
Le retour de Joel Schumacher accompagné de Jim Carrey … On peut donc s’attendre légitimement à du sombre et du glauque. Et il faut avouer que l’affiche est plutôt sympathique, pour un thème alléchant – celui de l’obsession numérologique à tendance paranoïaque. Tiendrait-on quelques chose d’intéressant ?

Un thriller numérique … sans ordinateurs
Le chiffre 23 est apparemment le centre d’une vraie obsession. Tous les problèmes de ce monde seraient liés à ce chiffre avec une troublante coïncidence, sans que l’on puisse vraiment déterminer la finalité de cette malédiction. A partir des élucubrations de quelques acharnés de la numérologie, Joel Schumacher revient avec un pitch alléchant.

Des chiffres et des lettres – toujours aussi ennuyeux
Il se trouve que le film est très prometteur … mais forcément un peu décevant. Aurait fait une meilleure BD … le film est un peu long.
Soulignons quelques points positifs, cependant :
Soulagement : un film de Joel Schumacher qui ne donne pas la nausée (je fais références à 8mm qui était décidemment sale tellement il était glauque, ou encore Bateman dans sa version disco fluo à paillette qui m’avait filé un beau mal de crâne).
Autre point positif : Jim Carrey qui confirme que décidemment, il est très bien dans d’autres rôles que ceux de bouffons (notamment suite à Eternal life of the spotless mind).
Et puis surtout, ce film est idéal pour réviser son algèbre.

[youtube http://www.youtube.com/watch?v=DnMp5rW56J8]

Petit détail : si vous prenez la première lettre de chaque mot de cet article et que vous les additionnez, et que vous divisez par votre age, moins l’heure de la mort de Hitler, vous trouverez 24 … Ben quoi ? C’est presque pareil que 23 …
Bon, d’ailleurs, il a été rédigé à 23h23 …

Plus
1/ http://www.number23movie.com/
2/ http://www.youtube.com/number23
3/ http://en.wikipedia.org/wiki/23_%28numerology%29
4/ http://www.number23movie.com/youtube/gallery.html
5/ http://programmes.france3.fr/des-chiffres-et-des-lettres/23806420-fr.php

Tant qu’à avoir un film à chiffres, vivement 300.
(3+2zéros = 23 inversés … on n’en sort pas).

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Cyberia

No Life TV

L’idée que j’aurai du avoir
Enfin. Les nerds, geek, digital native et autre furieux de l’électronique vont avoir leur média mainstream, leur point de ralliement cathodique, leur télé à eux : Nolife TV arrive pour de vrai !
Une preuve de plus que les geeks prennent de plus en plus le pouvoir, et que ce n’est plus une sous culture blafarde – avec la diffusion de la technologie, la culture geek qui lui est associée s’étend.
Evidemment ça arrive bientôt sur la Freebox.
Maintenant, deux petites réflexions :

1/ je cède vraiment trop facilement aux sirènes du geek – tout bien réfléchi, le risque que ça mauvais est très important. Tout bien réfléchi aussi, il se pourrait bien que ce soit de l’excellente idée.
2/ jusqu’à présent, et sauf erreur de ma part, cette fameuse culture geek dont je parle s’est parfaitement passé de médias traditionnels, et les a même rejetés … Y aurait-il de la place pour une télé ?

Je vous préviens dès qu’elle est disponible sur la Freebox …

http://www.nolife-tv.com/
News via ecran : http://ecrans.fr/spip.php?article922
La news y est d’Erwan Cario, monsieur jeu video de libération, expert es geek s’il en est : http://jeux.blogs.liberation.fr/
Plus d’info encore : http://www.freenews.fr/index.php?itemid=4410
http://www.universfreebox.com/article2851.html

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Cinema

The last king of scotland

Réalisé par Kevin Macdonald
Avec Forest Whitaker, Gillian Anderson, James McAvoy
Film britannique.
Durée : 2h 5min.
Année de production : 2006

La descente aux enfers de l’Ouganda.
Le dernier Roi d’Ecosse retrace le destin d’Idi Amin Dada, ancien leader de l’Ouganda, déchu en 1979 et mort paisiblement en Arabie Saoudite en 2003. Ce film est l’occasion d’une fresque sur le régime, mais aussi sur une partie de l’histoire de l’Afrique au lendemain de l’indépendance.
Même si le personnage principal n’existe pas (le film est adapté d’un roman), le personnage d’Idi Amin Dada, lui, est bien présent.
Rating : rrahh lovely !

Des personnages remarquables
Forrest Whithaker, excellent Amin Dad
Amin Dada, un vrai personnage de cinéma, sombre dans la folie, autocrate proclamé sous les dehors séduisants du leader africain – médiatique, mais aussi mégalomane et despotique. Derrière le séduisant masque de l’indépendance se cache la réalité hideuse de la folie destructrice – le pouvoir rend fou, c’est bien connu.
Massif, inquiétant, charmeur – l’oeil droit de Forrest Withaker suffit à lui seul à exprimer tout l’excès du personnage, sa schyzophrénie évidente. Un excellent choix d’acteur et un remarquble jeu pour Forrest Withaker.

A noter le personnage particulièrement riche du jeune docteur qui se laisse séduire par Amin … Cet homme qui part vers l’afrique, la tête pleine d’aventure et de paysages souriants, et qui refuse d’affronter la réalité en face, qui préfère accepter les discours rassurants d’Amin plutôt que de se confronter avec les faits. C’est un peu une allégorie de l’homme blanc au lendemain de la décolonisation – il finira par s’en sortir, laissant derrière lui les 300 000 morts du régime Ougandais …


Tranches d’Afrique

Au delà de la galerie de portrait, ce film est aussi l’occasion de revenir sur l’afrique de l’époque, sans caricatures ou simplification. On y voit donc des moments de joie, des paysages magnifiques, mais aussi quelques scènes vraiment atroces et barbares – l’interdiction au moins de 12 ans est amplement justifiée.

Trailer

Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Idi_Amin_Dada
Site officiel : http://www.ledernierroidecosse-lefilm.com/ à noter encore que le site officiel est plutôt bien renseigné, avec beaucoup de données biographiques pour mieux appréhender le film.

Encore un film qui se penche au chevet du passé de l’Afrique, au lendemain de sa décolonisation. Suffisament précieux et essentiel pour justifier de se déplacer le voir, d’autant plus que le film est excellent.

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Cinema

Nacho Libre

Catch kitch
Plongée au coeur du Mexique à moustache et à collant bleu ciel, fanatique de catch à paillette et de mauvais goût. Quand on trouve dans un film une réplique comme “quand on est oune homme, parfois on porte des pantalons moulants, dans sa chambre, youste pour rien”, on ne peut être que conquis.
Rating : moui

L’histoire : Un moine fasciné par les héros du catch décide un jour de devenir catcheur lui-même, et revêt la nuit son habit et sa cape pour briller.

Jack Black est fantastique en catcheur mexicain obèse, avec un jeu d’acteur à base de moustache et de regards inspirés et profonds vers l’horizon.

Attention néanmoins : ce film est fait par le réalisateur de Napoleon Dynamite … un gage de lourd et de longs silences angoissants.

En même temps, ce film tire toute sa croustillance du kitch mexicain – j’attends avec impatience le premier grand film sur le monde du catch à l’américaine, tel qu’on peut le voir à la télé. Là, je crois qu’on atteindra les sublimes de l’abysse des spectacles …

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